Une "Nouvelle" est présentée ici chaque jour. Vous pouvez la recevoir quotidiennement dans votre courriel en cliquant ici. Mercredi le 8 janvier, 2003 La faim dans le monde.
La Bhagavad-gita (111.13) confirme que celui qui se nourrit d'aliments offerts en sacrifice assure comme il convient sa subsistance, alors que celui qui cuisine pour lui-même et n'accomplit aucun sacrifice n'avale à chaque bouchée que du péché. Cette façon coupable de se nourrir ne rend jamais l'homme heureux et n'empêche pas la disette. Contrairement à ce que croient certains économistes de piètre intelligence, la famine n'est donc pas due à la surpopulation. Si l'humanité se montrait reconnaissante envers le Seigneur pour tous les biens qu'Il accorde aux êtres vivants en vue de leur subsistance, il n'y aurait ni pénurie ni indigence dans la société. Mais lorsque les hommes oublient la valeur intrinsèque de ces présents du Seigneur, ils se retrouvent alors certes dans le besoin. Un homme dénué de conscience divine peut connaître une opulence temporaire grâce à quelque acte de vertu accompli dans le passé, mais s'il vit dans l'oubli de sa relation avec le Seigneur, il doit s'attendre, selon les lois puissantes de la nature matérielle, à souffrir des privations. Nul ne saurait échapper à la vigilance de la puissante nature matérielle, à moins de mener une vie de dévotion, en toute conscience de Dieu. Puisé dans le Srimad-Bhagavatam. 3.5.49 © Copyright. Tous droits réservés. Recevez la nouvelle quotidiennement dans votre courriel. ARCHIVES Hare Krishna Hare Krishna Krishna Krishna Hare Hare Hare Rama Hare Rama Rama Rama Hare Hare |