Holocauste historique.

"Je découvris aux Indes une race de mortels qui évoluait sur cette terre mais n'y adhérait point toutefois, qui bien que résidant au sein de cités fabuleuses n'y était pas attachée et quoique paraissant tout posséder était néanmoins libre de tout."
Appolonius de Tyana

Cet éminent voyageur grec dont les discours philosophiques, la sagesse, les guérisons et autres prouesses miraculeuses en firent l'un des personnages les plus exceptionnels de son époque, visita les Indes au premier siècle de notre ère.

Bien qu'Appolonius effectua son voyage près de 3000 ans après le début de l'âge de Kali, il est clair par les observations élogieuses qu'il fit des lieux et de ses résidents que la culture védique y était encore bien vivante et active.

Les effets néfastes de l'âge de querelle et d'hypocrisie commencèrent surtout à se faire sentir sur la terre de Bharata au début du huitième siècle après les premières incursions musulmanes. L'invasion progressive dura jusqu'au douzième siècle, période durant laquelle les Rajputs défendirent férocement le territoire du Nord de l'Inde et limitèrent ainsi la présence mahométane à quelques régions du pays. Mais après la prise de Delhi au début du treisième siècle, tous les royaumes furent tour à tour envahis. L'Orissa, l'Assam et quelques poches de résistance dans le Sud de l'Inde sont les seules contrées qui échappèrent au joug des armées du "Prophète".

Au cours de ces onze siècles d'invasion graduelle et finalement d'occupation quasi totale du territoire, le massacre intensif du peuple indien aux mains des musulmans fut d'une telle ampleur que plusieurs historiens, se basant sur les archives mêmes des envahisseurs, considèrent ce génocide comme le plus meurtrier de tous les temps. L'holocauste des populations aborigènes des Amériques du Sud, du Nord et centrale par les colons européens, celui des juifs par les Nazis, des Ukrainiens par les Bolshéviques, des Cambodgiens par le Khmer-Rouge, des Chinois pendant la Révolution Culturelle, toutes ces horreurs combinées n'équivalent pas aux pertes de vie humaine que subit le peuple indien tout au long de ce long millénaire d'occupation brutale.

Des millions périrent au cours de ces longs siècles d'agonie. La plupart des temples furent détruits, brulés, ou transformés en mosquées ou résidences de sultans.

Les déités furent le plus souvent broyées sinon enguirlandées de langues de bovins. Des centaines de vaches furent abattues sur les lieux sacrés pour décourager les populations locales de les fréquenter.

Il est important de souligner que ce genre de barbarie ne se produisit pas seulement au début de l'invasion, mais s'échelonna tout au long de l'occupation.

Car il était hélas coutume pour un nouveau souverain musulman d'inaugurer son règne par une campagne intensive de massacre des "infidèles", ceci afin d'affirmer d'une part son autorité, d'autre part son statut de digne représentant du "prophète". Les crânes de centaines et de milliers de victimes de ces campagnes sanguinaires formaient alors des montagnes sordides sur les places publiques des villes et vilages. Les conversions systématiques à la pointe de l'épée étaientalors monaie courante, Aujourd'hui, les musulmans de l'Inde et du Pakistan sont en majeure partie les descendants de ces convertis forcés. Bien entendu, ces tyrans ne souhaitaient pas totalement exterminer le peuple indien car ils ne voulaient certainement pas éliminer leur propre main-d'oeuvre. Aussi concevirent ils d'un procédé des plus ingénieux en taxant de façon exorbitante tous les non-musulmans, ce qui contribua ainsi énormément à la conversion des "païens" védiques.

Il est bien évident que l'objectif primordial des envahisseurs était ici l'éradication totale de la culture védique. Cette ancienne culture basée sur la connaissance absolue des Vedas représentait en effet une menace considérable pour la religion élémentaire des fanatiques mahométans.

La défaite des derniers rois védiques du Nord de l'Inde, Prithviraj et Jaichandra en 1192 et 1194 respectivement ouvrit les vallées fertiles du Gange et de ses tributaires à la férocité desintrus. Ici les armées du Jihad, qui autrement dit suivaient l'ordre direct d'Allah d'anéantir toute manifestation religieuse non-Koranique, causèrent les pires ravages culturels et spirituels que l'humanité aitconnu.

Cette région privilégiée abritait depuis déjà des millénaires plusieurs universités et librairies importantes qui attiraient des érudits venus de contrées lointaines telle que la Perse, l'Egypte, la Grèce, et la Chine et recélaient des trésors de savoir. A titre d'exemple, l'université Nalanda, à elle seule, possédait plus de neuf millions de manuscripts. A cette époque, ces centres d'étude védiques et boudhistes offraient ente autre des cours en yoga, philosophie, médecine, théologie, langues, astronomie, mathématiques et architecture.

Les tueries et désécrations de lieux sacrés furent semblables à celles qui eurent lieu au préalable dans les contrées plus occidentales du pays. Mais ce nouvel assault contre la civilisation védique, parcequ'il visait principalement à exterminer les érudits, moines et brahmanas et à détruire les manuscrits, représente une perte d'autant plus considérable pour le peuple indien et l'humanité entière. De nombreux textes portant sur tous les aspects de la connaissance humaine, disparurent à tout jamais lors de cette campagne d'assassinatio culturelle, d'autres furent recyclés pour l'usage des conquérants.

Ce n'est en effet pas une coincidence si vers la même époque, qui correspond à l'âge ténébreux de l'Europe (le Moyen Age), les arabes se mirent à colporter d'un pays à l'autre les éléments d'une connaissance supérieure. Cordoba, la capitale Maure de l'Espagne occupée, devint, à la fin du douzième et début du treizième siècles, le haut fief de culture et d'éducation de l'Occident. Le système numérique védique, connu alors et même encore, comme le système numérique arabe fut introduit en Europe. La misapropriation culturelle doit donc être ajoutée à l'épouvantable palmarès de crimes envers l'humanité dont se rendirent coupables les légions de l'Islam. Une parenthèse devrait ici être ouverte pour tenter d'expliquer comment, au nom de la religion, les armées musulmanes purent commettre tant d'atrocités.

Les commandements d'Allah (Quran) et les précédents établis parson Prophète (Sunnah) sont souvent cités par les historiens musulmans pour justifier le zèle des conquérants. La théologie islamique, tristement, semble supporter la destruction des sites d'adoration non musulmans et des "infidèles, suppots de Satan".

"J'ai recu d'Allah l'ordre direct de persécuter les incroyants jusqu'à ce qu'ils croient en Allah et en son Prophète et qu'ils se soumettent aux lois de l'Islam. Alors seulement, leur sauvegarde sera-t-elle guarantie."
(Sahij Tirmzi Vol.2/192)

"Allah a racheté des croyants leur être propre et leurs biens en échange pour le salut et le paradis. Qu'ils luttent à présent, qu'ils tuent même et périssent afin d'établir la Voie de Dieu. Qui peut tenir une promesse mieux qu'Allah? Rejouissez-vous donc de ce divin négoce fait avec Lui pour le triomphe des forces de l'Islam."
(Répentance -190)

Ces injonctions incendiaires ne constituent qu'un échantillon de versets similaires qui parsèment le Koran et les écritures annexes. Une chose est claire, le Koran et les autres textes furent écrits un siècle après la mort de Mahomed. La décision d'assembler les révélations du Prophète, jusque là consignée à la mémoire de ses parents et amis et de leurs descendants, fut prise lorsque le troisième Caliphe, ou représentant de Mahomed, se rendit compte que plusieurs schismes ethérésies menacaient de fragmenter le peuple. Comme les arabes étaient à cette même époque engagés dans une vague de conquêtes massives simultanément au Nord, à l'Ouest et à l'Est de l'Arabie, il est fort possible qu'à des fins toutes politiques et militaires, plusieurs de ces passages destinés à enflammer les instincts guerriers de la population furent introduits.

Heureusement, après tant de siècles d'occupation brutale, le 16 ième siècle, qui correspond à l'avènement du Seigneur Caitanya, débuta avec la naissance d'une nouvelle dynastie, celle des Moghols. Babur inaugura une ère de clémence et d'harmonie. Son grand-fils fut Akbar the Great(1562-1605). La culture Indo-Islamique, s'il en fut jamais une, atteignit son apogée de tolérance et de respect mutuel sous son règne éclaire. Akbar se singularisa par une extrême ouverture d'esprit: il organisait régulièrement, dans sa Cour même, des discussions d'érudits représentant diverses traditions védiques et musulmanes.

Aurangzeb, l'un de ses descendants, devint durant son règne, déterminé à consolider l'occupation des provinces du Sud de l'Inde. Maisce faisant, il perdit de vue un nouveau phénomène.

En effet, au début du 18ième siècle, les ksatriyas du Maharastras organisèrent sous les ordres de Shivaji, un stratège militaire hors pair, en une force redoutable. Les Marathas, comme ils devinrent connus, regagnèrent d'énormes portions du territoire conquis. Des renforts musulmans venus de Perse et d'Afghanistan limitèrent dans une certaine mesure la libération des contrées occupées.

Le regain de territoire et le contrôle politique des Marathas ne fut hélas que de courte durée car l'un des pires assaults à la culture védique allait tout juste se produire.

Afin de comprendre ce qui se produisit alors, retournons en arrière de quelques siècles. Le 20 Mai 1498, un convoi de gallions portugais sous les ordres de Vasco de Gama débarquait aux Indes à Calicut sur la côte de Malabar. La Couronne Portugaise fut la première d'Europe à financer ce genre d'explorations maritimes lointaines. Il ne prit que peu de temps aux nouveaux venus pour réaliser le potentiel commercial énorme qu'offrait leur nouvelle découverte. Cette visite initiale inaugura, à partir de l'Europe, une ruée vers les épices, qui à cette époque représentaient littéralement leur pesant d'or.

Les Indes, regorgeant de ces denrées précieuses, devinrent donc une cible majeure de la convoitise mercantile européenne. Les Hollandais, les Anglais et les Francais participèrent tous avidement dans cette nouvelle course au trésor et établirent des comptoirs commerciaux tout au long de la côte indienne.

Vers le milieu du 18ieme siècle, les Anglais s'étant finalement débarassés de leurs compétiteurs, établirent leur monopole du commerce des épices. Puis profitant de la confusion engendrée par la guerre entre les musulmans et les Marathas, ils s'allièrent avec les Maharajas de plusieurs provinces et bien vite devinrent les nouveaux maîtres du pays.

Au début, les nouveaux occupants se préoccuperent surtout d'extraire le maximum de richesses du territoire conquis pour aller emplir les coffres de la Couronne britannique.

Un problème d'une toute autre nature surgit cependant assez vite. Les conquérants chrétiens anglais voulaient aussi, bien évidemment, "civiliser" ces peuples "primitifs" en leur faisant découvrir le "Dieu véritable" et son "Messie". Mais un phénomène inattendu et indésirable pour ces "apôtres de la vraie religion" commença à se manifester. Ils se rendirent compte que, déjà dans les milieux intellectuel soccidentaux, les premières traductions de textes védiques commencaient à circuler. Et la réaction extrêmement favorable des "gens de lettre", en Angleterre, en France, en Allemagne ainsi qu'en Amérique, vis-a-vis des écrits védiques, constituait une sérieuse menace qui ne pouvait être ignorée. Car à quoi bon occuper une nation, si la contamination philosophique et spirituelle de votre propre peuple en résulte?

Il faut se rappeler, qu'à cette époque en Europe, l'Etat et l'Eglise allaient toujours de pair. Il fallait donc que la nouvelle conquête en soit une à tous points de vue et il fallait pour ce faire, absolument enrayer cette dangeureuse tendance des auteurs et penseurs occidentaux de chanter les louanges de la culture védique. La période sinistre de l'Inquisition était révolue, fort heureusement pour ces intellectuels. C'était maintenant l'époque des philosophes éclaires, laquelle favorisait un libre échange des idées. Par conséquent, la meilleure façon de lutter contre cette épidémie qui risquait tôt ou tard de se propager au reste de la population était d'introduire un antidote sous forme d'une nouvelle idée.

La premiere esquisse de cette "idée", qui allait devenir connue sous le nom de "Theorie d'Invasion Aryenne" (TIA) prit naissance le 10 avril 1866 à Londres lors d'une réunion secrète à la "Royal Asiatic Society". Les objectifs principaux de la formulation de cette théorie était d'expliquer les similitudes évidentes entre le Sanskrit et les langues européennes, et surtout d'introduire la notion qu'une race Aryenne supérieure, qui venue des régions du Caucase, envahit les Indes entre 1500 et 1200 avant JC et y introduisit l'usage du sanskrit, les textes et la culture védique.

Comme sous-texte de cette théorie: les Indes avaient pour ainsi dire toujours connu l'occupation d'étrangers, lesquels avaient apporté avec eux leurs propres richesses culturelles. La colonisation britannique ne faisait donc en réalité que perpétuer cette longue tradition étoffrait finalement au peuple indien la crème de la civilisation humaine.

Le message pour les cercles intellectuels était que cette culture fascinante, loin de remonter à la nuit des temps, comme les textes le laissaient entendre, fut introduite aux Indes dans un passé récent. Les textes vediques ne constituaient qu'un assemblage de recits smythologiques et de croyances primitives sans conséquence qu'apportèrent avec elles les tribus nomades aryennes.

Comme cela peut facilement se deviner, cette théorie reçut un support considérable des anglais ainsi que des allemands nationalistes. Le monde chrétien, l'épousa avec un engouement débordant. Les musulmans, quant à eux, appréciaient tout ce qui pouvait dévaloriser la culture védique, qu'ils avaient eux-mêmes tenter, en vain, de détruire pendant si longtemps. La philosophie et le mouvement humaniste prenaient, en cette même période, de plus en plus d'ampleur et pour les humanistes, la notion d'une connaissance suprêmement divine léguée à l'humanité dans un âge très reculé était extrêmement gênante. Il était beaucoup plus commode d'avancer de plusieurs millénaires l'origine de ce savoir et d'en faire la mythologie de tribus nomadiques.

Cette machination des colons britanniques eut des répercusions déplorables à tous les niveaux de la société indienne. Selon la "TIA"(Théorie d'Invasion Aryenne), les envahisseurs aryens devinrent les classes brahmanique, administrative et marchande cependant que la population originelle de l'Inde, à laquelle les anglais donnèrent le nom de "Dravidiens" ou "civilisation Harrapaenne" se vit reléguée au rang subalterne des sudras. Toujours selon la "TIA", une grande majorité des Dravidiens, afin d'échapper aux Aryens, s'enfuirent en masse vers le Suddu pays.

Cette manipulation malhonnête de l'histoire des Indes devint une arme formidable dans la politique divisive des anglais. Lazizanie et le factionnement se propagèrent dans tous les recoins du territoire et de la société. Le Sud s'opposait désormais au Nord et les classes sociales qui avaient jusque là cohabité en parfaite harmonie, se plongeaient maintenant en des querelles incessantes. Les anglais, bienveillants et toujours de bon conseil, suggérèrent bien sûr que comme cette division de la population en varnas était à l'origine préconisée par les Vedas, il fallait à present rejeter les Vedas, la cause de tous les maux, afin que les Indes puissent enfin joindre le reste du monde civilisé. Les britanniques s'appliquèrent également a constamment envenimer les relations déjà scabreuses qui existaient entre les musulmans et les hindoues. Ils espéraient, que dans toute cette confusion, ils seraient vus, non pas comme les despotes qu'is étaient mais comme les bienfaiteurs et libérateurs du peuple indien.

La TIA subit un premier revert majeur avec les découvertes archéologiques à Harappa et Mohenjo-Daro en 1922. Ces découvertes révélaient que la societé peuplant l'Inde antique il y a plus de 4000 ans, avant la prétendue invasion aryenne, loin des sauvages Dravidiens illétrés que la théorie décrivait, représentait en réalité une civilisation des plus resplandissantes, qui n'avait certes rien à envier aux Mésopotamiens ou aux Egyptiens.

Il fallait à présent reconcilier ces trouvailles embarassantes avec la TIA. Les "érudits" (ou plutôt "zérodits") britanniques concédaient malgré eux que les habitants originels des Indes démontrèrent un degré surprenant de civilisation, surtout dans la planification urbaine de leurs cités et cela depuis des temps très anciens. A Merhgarh par exemple, à 300 kilomètres au nord de Mohenjo-Daro, on découvrait peu de temps après, les vestiges d'une autre ville "Dravidienne", dont les siècles de gloire remontaient à plus de 8500 ans. Mais s'ils reconnaissaient la sophistication des anciens résidants de la vallée Indus, du moins à certains égards, ils refusaient toutefois de faire de l'Inde le berceau de la culture védique. Ils persistaient, en dépit du bon sens, à attribuer son origine à des peuplades mythiques de provenance douteuse.

Avec la découverte plus récente du lit de la rivière Sarasvati et des centaines de sites archéologiques qui jonchent son cours, il semblerait selon tout logique que la TIA en soit rendue à son dernier souffle. Mais, tout comme de mauvaises habitudes, il est souvent difficile de se débarasser de théories ineptes et le monde académique refuse obstinement jusqu'à présent de corriger la "version officielle de l'histoire de l'Inde.

Il est cependant remarquable qu'en dépit de la longue période d'occupation du territoire de Bharata-Varsha, pour ainsi dire ininterrompue depuis le 11 ième siècle, la population indienne a conservé une santé spirituelle et culturelle appréciable compte tenu du climat d'adversité soutenu qu'elle traversa. Tout autre peuple se serait depuis longtemps fait assimilé par son conquérant. Cette persistance de la culture védique au sein de la société indienne moderne démontre le caractère impérissable de ce savoir suprême.

Une ironie intéressante du sort et une manifestation délicieuse de justice poétique divine fut l'arrivée à New-York de Srila Prabhupada qui débarqua seul en 1966, armé uniquement de sa pure dévotion. Il vint avec pour mission d'introduire en Occident le joyau de la culture védique: la Conscience de Krishna. Par sa miséricorde infinie, le chant des Saints Noms du Seigneur a retenti depuis lors des millions de fois sur tous les continents et la littérature védique est maintenant disponible dans la plupart des langues de la planète.

Le monde occidental en général, l'établissement académique en particulier avec sa forte concentration d'humanistes endurcis ainsi que les religions de l'Ouest -le Judaisme, le Christianisme et l'Islam- sont autant d'institutions qui refusent encore de valider et reconnaitre la culture védique comme la mère de toutes les cultures et toutes les religions. Les livres d'histoire continueront peut-être pour un temp encore à confondre les étudiants sur plusieurs chapitres essentiels de l'épopée humaine. Mais l'invasion solitaire de Srila Prabhupada il y a un peu plus de quatre décennies se poursuit toujours aujourd'hui par l'entremise de ses disciples et le monde occidental, paradoxalement si puissant et fragile, tel un géant aux pieds d'argile continue de recevoir les bénéfices incommensurables de cette conquête pacifiste de la culture védique.

Amala Purana Das