Voici le résumé d'une lecture donnée par Srila Prabhupada le 23 octobre 1968 à Montréal (Śrīmad-Bhāgavatam 2.1.2-5)
Un chef politique ... Peut-être avez-vous entendu son nom. Son nom était Madan Mohan Mallabhya. (?) En Inde. Il est venu voir notre Guru Mahārāja, et il a demandé: "Quelles sont vos activités?" Ainsi, certains de nos frères ont présenté: «Nous avons six périodiques en six langues: un en anglais, un en bengali, un en hindou, un en Oriya, un en Assami. Et nous avons un journal, le bengali, tous les jours. Donc, ce Madan Mohan Mallabhya a été étonné que "vous publiez un journal tous les jours, discutant simplement de Dieu?" Alors mon Guru Mahārāja a dit: "Oui. Pourquoi pas?" Puis il lui a donné un bel exemple, que dans la Bhagavad-gītā il est dit que ekāṁśena sthito jagat: [Bg. 10.42 :’’Mais à quoi bon, ô Arjuna, tout ce détail? Car, l'Univers entier, par une simple étincelle de Ma Personne, Je le pénètre et le soutiens. ‘’] Ce monde matériel n'est qu'une manifestation d'un quart de l'énergie de Dieu. Il y a d'innombrables univers et d'innombrables planètes dans chaque univers. Hors de cela, cette planète terrestre est très petite. Et sur cette planète, il y a tant de pays et tant de villes. Et dans chaque ville, il y a tant de périodiques, tant de journaux, et chaque journal ayant tant d'éditions par jour. Donc, par rapport à l'univers entier ou à toute la création matérielle, cette planète n'est rien et cette ville n'est rien. Si vous pouvez produire autant de nouvelles, qu'en est-il de l'énergie des trois quarts, Vaikuṇṭha?
Note par Aprakrita dasa : ‘’Il y a tant de journaux qui parlent de ce monde dans lequel nous sommes présentement. Par contre, il y a encore plus à dire du monde spirituel, qui est beaucoup plus grand. Krishna a de merveilleux passe-temps. Il y a tant à dire à Son propos. En plus le monde spirituel est éternel, tandis que le monde matériel est parfois existant et parfois détruit. Retournons en compagnie de Krishna dans le monde spirituel. C’est à cet endroit que nous serons vraiment heureux. ‘’