L'intestin d'un homme de grandeur moyenne mesure environ 7 mètres cinquante. Cette longueur est beaucoup trop grande pour la digestion de la viande. Parce qu'elle n'est pas évacuée assez rapidement, elle se putréfie et produit des déchets toxiques, lesquels sont absorbés par la muqueuse intestinale et introduits dans la circulation sanguine. Le rein, cet organe vital ayant pour fonction de filtrer le sang et de le débarrasser de ses déchets, se trouve affecté par cette surcharge de poisons. Non seulement son efficacité est amoindrie, mais, avec l'âge, il devient lui-même malsain. Ceci est, à un haut pourcentage, la cause de plusieurs maladies modernes, telles que: le cholestérol, le cancer, la diabète, l'arthrite, les maladies du coeur et bien d'autres.
En 1961, le "Journal of the American Medical Association" affirmait que 90 à 97 % des maladies du coeur plus de la moitié du taux de mortalité aux Etats-Unis, auraient pu être prévenues par une diète végétarienne. Depuis, les recherches médicales se sont poursuivies, reliant le cancer avec la consommation de chair animale et les évidences se font à un taux alarmant.
Le "National Academy of Sciences" rapporte en 1983, que "les gens peuvent éviter plusieurs cancers communs en mangeant moins de viande et plus de légumes et de grains". Dans le "Notes on the causation of Cancer", Pollo Russell écrit: "Sur 25 nations consommant beaucoup de chair animale, j'en ai trouvé 19 qui ont un très haut taux de cancer et seulement 1 avec un taux bas. Tandis que sur les 35 à peu ou pas de consommation de viande, aucune d'entre elles n'avait un taux élevé.
Quelques-uns des résultats les plus frappants de ces recherches sur le cancer nous vient d'expériences faites sur les effets des nitrosamines. Celles-ci se forment lorsque les aminés secondaires que l'on retrouve plus particulièrement dans l'alcool et la nicotine, entrent en réaction avec certains préservatifs chimiques dans la viande qu'on achète au supermarché. Le "Food and Drug administration" classa les nitrosamines comme "l'un des groupes les plus formidables et versatiles cancérigènes jamais découvert. Leur rôle dans l'étiologie du cancer humain cause une inquiétude grandissante parmi les experts."
Les consommateurs sont généralement ignorants des nombreux produits chimiques au potentiel hasardeux dans la viande. Dans leur livre "Poisons in your body", Gary et Stephen Null nous donnent une vue de l'intérieur sur 1es derniers "trucs" des corporations de l'industrie animale. " Les animaux sont gardés vivants et engraissés à l'aide d'administration continuelle de tranquillisants, d'hormones, d'antibiotiques de quelques 2,700 autres drogues dont l'arsenic." Ils poursuivent: "Ce procédé débute même avant leur naissance et prolonge longtemps après leur mort." Même si ces drogues sont toujours présentes dans la viande que vous mangez, la loi n'exige pas qu'elles soient décrites sur l'emballage.
Entre autre, l'un de ces produits chimiques, le diethy's tibbestrol (DES) une hormone de croissance, a démontré dans diverses études, de sérieux effets cancérigènes. De plus, mentionnons qu'aucune viande n'est fraîche à l'achat. On l'entrepose 2 semaines afin qu'elle se ramollisse perdant ainsi sa rigidité cadavérique qui suit la mise à mort de l'animal. Le nitrate de sodium et le nitrite de sodium sont des produits chimiques qui ralentissent la putréfaction. Ils sont aussi un danger pour la santé. Ils donnent toutefois cette brillante couleur rouge chair morte, en faisant réagir le pigment du sang et des muscles. Sans elle, la couleur naturelle gris-brun du cadavre dégouterait sûrement les consommateurs éventuels.